La maison de la mort [PV - Hideto]

Je venais à peine de descendre de la voiture, la jeune fille toujours dan smes bras, que je restais sans voix devant ce qui se tenait devant moi. C'est bien la première fois que je vois une maison aussi grande. C'est vraiment un très bel endroit de dehors, mais je n'imagine même pas comment ça doit être à l'intérieur. Sûrement encore mieux. Un vieil homme s'avança vers nous et nous conduisit jusqu'à la porte pour nous faire entrer. Et comme je medoutais bien, l'intérieur était tout aussi splendide. Sûrement que Joyama avait beaucoup d'argent pour s'offrir tout ça. Le vieil homme nous laissa et Joyama me fit un sourire avant de se mettre à marcher. On travers aquelques couloirs, rencontrant ici et là quelques hommes. Sûrement tous des tueurs entraîner eux aussi.

On arriva bientôt devant un ascenseur et Joyama m,invita à le suivre à l'intérieur. Les portes se refermèrent et celui-ci se mit en marche. Quelques minutes plus tard, les portes s'ouvrirent sur un long couloir blanc. Jusqu'à maintenant tout avait été silencieux dans la maison, mais je dois dire qu'ici, c'était tout à fait le contraire. Des cris résonnaient partout dans chaqu'une des pièces du couloir. Je sens que je vais bien me plaire ici moi. Joyama me conduisit ainsi dan sdifférent couloirs jusque devant une porte. Il ouvrit celle-ci et une jeune femme qui s'y trouvait, lui sauta au cou. Après quelques secondes, elle s,approcha de moi pour prendre la jeune fille et on ressortit. Je me demande bien ce qu'ils vont faire d'elle maintenant. Je me tournais vers Joyama à ses paroles en souriant.

- Merci. Ça fait toujours plaisir d'entrer dans un tel endroit.

On rebroussa chemin pour remonter à l'étage. Je dois dire que cette base me plaît bien. Je suis sûr que je vais très vite m'y habitué. Les couloirs sont eux peut ressemblant à ceux de l'hôpital, mais je sais bien que ce qui se passe dans ces pièces est tout à fait différent. Et c'est ce qui fait que je trouve cet endroit vraiment passionnant. J'aurais jamais pensé qu'il puisse exister une telle base pour les tueurs. J'ai réellement bien fait finalement d'aborder Joyama au parc. J'aurais manquer tout ça si j'étais passé à côté de lui sans rien faire.

Une fois rendu à l'étage, Joyama me conduisit dans une pièce que je reconnu immédiatement comem un salon. Et je dois dire que c'était un salon grandiose. Les couleurs qui affluaient dans la pièce donnait un vrai décor de rêve. Joyama se laissa tomber sur le canapé et m'invita à m'asseoir à mon tour. Je pris donc place près de lui et jetais un regard autour de la pièce. je dois dire que ça change réellement de l'hôpital cet endroit. C'est vraiment quelque chose de magnifique que Joyama à construit ici. À sa question, je posais mon regard sur lui en souriant doucement.

- Je vais juste prendre un verre d'eau.

Je souris avant de détourner la tête. Je me demande bien ce qu'il vont faire de la jeune fille maintenant. Ça m'étonnerait qu'il la laisse partir rapidement. Ils vont sûrement s,occuper d'elle d'abord. Mais ensuite, ils font quoi avec elle. Je sais pas trop si je devrais poser la question. je voudrais quand même pas me retrouver avec des ennuis pour avoir poser des questions indiscrètes. Je me décidais finalement à me tourner vers Joyama.

- Vous allez faire quoi maintenant avec la jeune fille ?

J'attendais toujours qu'il me réponde, mais il ne semblait pas si presser que ça. Il prit mêm ele temps de s'allumer une cigarette pendant qu'un serviteur allait ouvrir la fenêtre. C'est vraiment ce que j'appele avoir quelqu'un pour chaqu'un de vos besoins. En tout cas, il est bien servit dans cette base. J'ai peut-être fait une bêtise en posant cette question. Ça expliquerait pourquoi il ne semble pas presser de me répondre. Un autre serviteur entra alors avec nos verres avant de nous les donner. Joyama le renvoya assez rapidement avant de tirer sur sa cigarette et de recracher la fumée.

Il me répondit finalement, mais les mots qui sortirent de sa bouche me firent l'effet contraire de ce qui aurait dû se passer. Moi qui croyait que cette fille allait être en sécurité si on l'amenait ici. J eme suis bien tromper une fois de plus. Sauf que le rire qu'il lâcha à la fin de sa phrase, me rassura un peu. Il devait sûrement avoir dit tout ça pour que je crois à n'importe quoi. Et le pire, c'est que ça avait faillit marcher. Au moins, je suis sûr que maintenant elle retournera chez elle en vie. Je fis un léger sourire à Joyama et pris une légère gorgée de mon eau.

-J'ai bien cru pendant un instant que vous alliez vraiment faire ce que vous disiez.

Je fis un petit sourire amusé avant de baisser la tête. Quoi que ça n'aurait sûrement pas été pire que ce que j'ai déjà fait auparavant. Mais la seule différence, que cette fille, je l'avais tenu dans mes bras pour la réconforter, donc ça changeait tout. Et je me demande bien pourquoi.

Au rire de Joyama, je levais les yeux vers lui pour me rendre compte qu'il me regardait assez étrangement. Je me demande bien ce qu'il a derrière la tête. Son sourire en dit long en plus. Il approcha alors son visage du mien avant de me souffler à l'oreille quelques mots. Que je prenne plaisir ? Et bien, ça dépent toujours de quel genre de plaisir il parle. Il se releva du sofa, perdant ainsi tout sourire et me fit signe de le suivre. Il m'emmena ainsi jusqu'à l'ascenseur qu'on avait prit tout à l'heure et on redescendit dans la base souterraine.

Une fois en bas, il me fit signe de le suivre de nouveau et après quelques couloirs, il s'arrêta devant une porte qu'il ouvrit. À l'intérieur, ce trouvait un jeune homme qui se terrait dans un coin. Cependant, quand il aperçut Joyama, il s'élança sur lui, le prenant par le cou, le suppliant de le laisser. Joyama le serra contre lui avant de l,embrasser et de le jeter sur le sol. Il se trouna ensuite vers moi, me disant de prendre plaisir et qu'il regarderait tout ça.

Je jetais un regard au jeune homme qui continuait de supplier qu'on le laisse. je jetais un regard autour d elapièce pour me rendre compte que c'était complètement vide. Alors comment voulait-il que je prenne plaisir ? À moins que... Mais je sais pas comment faire ça moi. J'ai jamais fait une chose pareil. Je jetais un regard à Joyama. Il allait sûrement me prendre pour un débile profond.

- Je sais pas comment on fait ça.

Joyama me regarda un instant avant de s'avancer vers moi pour prendre mon visage dans ses mains. Je croyais qu'il allait se mettre à rire de moi, mais il me fit un sourire rassurant, caressant mon visage avec ces pouces. Il caressa ensuite mes cheveux avant de jeter un regars au garçon sur le sol. Il sortit ensuite une lame de ses poches et la mit dans ma main, m'expliquant ainsi que c'était à moi de juger quel plaisir je pouvais prendre. Il se recula par la suite avant de demander au jeune garçon de la fermer. Il prit ensuite pace sur une chaise avant de s'allumer une cigarette.

Donc c'était à moi de jouer maintenant. Il fallait que je sois à la hauteur des attentes de Joyama. C'est la première fois que ma proie est autant à portée de main, mais c'est sûrement plus facile ainsi. Je m'approchais lentement du jeune homme et attrapais sa main pour le faire relever du sol et le plaquais contre le mur assez brusquement. Il laissa un cri s'échapper de ses lèvres, ce qui me fit sourire. Je sens que tout ça risque d'être très amusant. Je fis tournoyer doucement la lame dans ma main avant de poser mon regard sur le jeune homme. Je pouvais bien voir la peur dans ses yeux, mais c'est ce qui alimentait encore plus mon goût de le tuer.

Je fis glisser la lame le long de son torse, effleurant ainsi sa peau sans pour toute fois le blesser. Je voulais d'abord m'amuser avec lui. Lui montrer comment un fou pouvait agir devant une proie aussi facilement accessible. Celui-ci ferma les yeux et un sourire amusé apparut sur mes lèvres. C'est toujours ainsi avec les victimes. Elles ont toujours peur d'affronter ce qui leur arrive. Mais moi pour ma part, j'aime bien voir la réaction qui habite leur yeux lorsque la lame transperce lentement leur peau. C'est pourquoi je passais la lame près de sa joue.

- Faut pas fermer les yeux, sinon ça sera encore pire pour toi.

Il ouvrit finalement les yeux, remarquant bien que je ne voulais pas rire du tout. je lui fis un petit sourire rassurant, tapotant doucement sa joue.

- C'est bon, tu sais écouter. Maintenant, tu devras les laisser ouvert jusqu'à la fin, sinon gare à toi.

La lame descendit doucement le long de sa gorge et s'arrêta sur son torse. je levais les yeux sur lui et sourit doucement en remarquant qu'il avait garder les yeux ouvert. La lame s'enfonça doucement dans sa peau avant de glisser un peu vers le bas, laissant ainsi une jolie petite traîner de sang sur son passage. Je retirais la lame et laissais un sourire se dessiner sur mes lèvres. C'est vraiment très amusant ce genre de jeu.

Mon sourire n'avait toujours pas quitter mes lèvres. J'aimais bien ce que je faisais en ce moment. J'en avais presque oublier la présence de Joyama, jusqu'à ce que je l'entende murmurer à mon intention. J'espère au moisn qu'il apprécie le spectacle. Je posais mon regard dans les yeux du jeune garcon. Ça se voyait bien qu'il redoute le pire. Mais il ne devrait pas s'en faire pour l'instant, le pire n'est pas encore arriver pour lui. Je ne fesais que commencer. Donc il fallait commencer en douceur pour ne pas effrayer la proie. Ensuite, le tout s'amplifirait et les cris se feraient entendre de la bouche de celui-ci. Alors à ce moment, il supplira de le tuer pour alléger ses souffrances. Mais bien sûr, je vais pas l'écouter et simplement continuer mon petit jeu.

Je laissais la lame parcourir doucement la peau de celui-ci, sans le quitter des yeux. Je savais bien qu'à un moment ou l'autre il finirait par fermer les yeux de nouveau. Et alors à ce moment, je devrais le punir pour qu'il sache m'écouter. La lame continua son chemin le long de son torse pour remonter doucement sur son beau visage. Je dois dire que c'est vraiment dommage de devoir abîmer un si joli visage. Peut-être que je devrais le laisser tranquille et juste m'attaquer à son corps de dieu. Quoi que c'est tout aussi dommage, mais c'est le but du jeu. La lame caressa doucement la joue du jeune homme et mon sourire s'aggrandit lorsque je vis la terreur s'amplifier dans ses yeux. C'est tellement amusant de les voir réagir ainsi. Je crois bien que je pourrais jamsis me lasser d'un tel spectacle. C'est ce qui me donne toujours un peu plus de plaisir à continuer mon jeu.

Comme je me disais quelques seconde splus tard, quand la lame s'aprpocha dangereusement de son oeil et celui-ci s'empressa de le fermer. Mais comme il avait désobéit à ce que je lui avais demander, je laissais la lame redescendre sur sa joue, appuyais légèrement sur sa peau pour lui faire une belle entaille. La prochaine fois, il ne fermera plus les yeux par peur de devoir subir de nouveau ce jeu cruel qui est d'abîmer son si joli visage. Il poussa un léger cri de douleur avant d'ouvrir les yeux.

- Je t'avais pourtant bien dit de ne pas fermer les yeux. Tu ne m'a pas écouter alors voilà pourquoi tu subis cet affreuse torture.

Je me délectais grandement de la peur que je pouvais procurer à ce jeune homme. Faut dire que lorsque quelqu'un s'amuse à vous taillader le corps avec une lame et qu'un sourire est encrer sur les lèvres de votre agresseur, il y a quelque chose à avoir peur. Mais c'est pêut-être mieux ainsi pour lui de toute mainère. J'aime pas trop les gens qui se croient supérieur à celui qui tient le couteau. Ce genre de personne qui croit qu'on peut me faire changer d'idée juste parce qu'on me regarde de haut. Bien que ce me soit déjà arriver à plusieurs occasion, je dois dire que les personnes ont finit par réclamer la mort assez rapidement pour avoir oser me défier. Mais aujourd'hui, c'est tout autre chose, je vois bien que ce jeune homme ne veut pas me défier. La seule chose qu'il réclame avec son pauvre regard, c'est que je le laisse tranquille. Mais c'est impossible pour l'instant. J'ai une tâche à accomplir et je vais la faire jusqu'au bout.

Je laissais la lame redescendre doucement sur son torse, suivant chaqu'un des mouvements de celle-ci avec un sourire amusé sur les lèvres. Je dois dire qu'il a vraiment une peau parfaite. C'est vraiment très dommage de devoir abîmer tout ça avec une lame aussi grossière. Mais je vais pas m'en plaindre maintenant. Surtout pas que j'ai déjà commencer le travail. J'aurais juste à faire très attention à chacun de mes mouvements pour que tout soit parfait. Il ne faudrait quand même pas gâcher le tout pour un simple mouvement trop rapide de ma part. Je relevais finalement les yeux et plongeais mon regard dans celui du jeune homme. J'appuyais doucement sur la lame pour que celle-ci effleure doucement la peau de celui-ci. Une seule goutte perla sur son torse me fesant sourire encore plus. Mais sans qu'il ne s'attende à ce qui allait lui arrriver, je remontais la lame vers le haut en appuyais un peu plus cette fois. Le petit cri qu'il laissa s'échapper de ses lèvres, me fis rire doucement.

- Ne me dis pas que tu es faible. J'ai à peine effleurer ta peau. C'est pas comme si je t'avais transpercer la poitrine.

Je m'amuse vraiment en ce moment. Je sens que cette proie finira par me supplier de l'achever au lieu de continuer ses pauvres tortures. Mais le pire pour lui, c'est que j'adore entendre les gens supplier devant moi, c'est ce qui me donne encore plus le goût de continuer. MAis bien sûr, avec le temps, je viens a en avoir marre de l'entendre et j'exauce finaleemtn son souhait. Mais bien sûr, c'est très long avant que cela ne se termine. J'aime bien prendr emon temps, voir ma victime souffrir encore plus. Je sais pas pourquoi, mais ça me fait un bien fou. Et de plus, c'est tellement amusant de voir votre victime souffrir.

Je laissais la lame du couteau glisser doucement le long de son bras avant de la laisser remonter doucement vers le haut. Je sai sbien qu'il redoute la prochaine attaque. Et je le comprend quand même. Surtout qu'il semble comprendre que je suis très imprévisible. J'attaque sans qu'on se doute de quelque chose. C'est ce qui est amusant en plus. Ainsi, la victime poussa un cri de suprise autant que de douleur. Bien sûr, tout dépendant de l'endroit où j'ai attaqué. Mais aujourd,hui, je veux m'amuser à l'entendre crier. Je veux voir jusqu'à quel point il peut crier. Et tout ça juste en m'amusant.

- On va voir comment tu te comporte sous le poid de la douleur. Surtout si je t'interdis de crier. Ça pourrait être pire si jamais je t'entendais crier.

Je lui fis un petit sourire amusé et approchais la lame du couteau vers le nerf de son bras. C'est un endroit très douloureux quand on s'est biens'y prendre. Et je dois dire que c,est encore pire quand on le coupe. C'est à ce moment que le bras cesse de fonctionner. Mais pour l'instant, je vais juste m,occuper de sa main. Je laissais d,abord la lame glisser doucement sur sa peau, la coupant légèrement avant d'y enfoncer la lame assez profondément, sectionnant ainsi le nerf de sa main. Bien sûr, il poussa un léger cri de douleur et je levais les yeux vers lui en souriant.

- C'est vraiment dommage mon vieux. je vais devoir m,occuper de ta langue maintenant. Ainsi, je pourrais plus t'entendre.

Je voyais bien que le jeune homme avait prit peur à mes paroles. Mais je savais aussi que je n'allais tout de même pas lui couper la langue maintenant. Je voulais entendre encore un peu ses cris. C'est quand même grâce à ceux-ci que le plaisir de continuer augmente. Plus la victime hurle de douleur, plus le plaisir de continuer à le torturer grimpe en nous. C'est ainsi que ça marche, du moins pour moi. Peut-être que c'est différent pour d'autre. Donc, il va garder sa langue encore un petit moment jusqu'à ce que j'en ai marre de l'entendre se plaindre de douleur. Ce qui risque d'être quand même assez long. Je suis pas presser du tout à l'achever. Plus c'est long, meilleur c'est pour moi.

Je fis un petit sourire amusé au jeune homme et approchais la lame près de sa bouche, juste pour lui faire un peu peur. Ainsi, peut-être que la prochaine fois il y pensera à deux fois avant de crier. Quoi que ça ne m'empêche pas d'apprécier le fait qu'il cri un peu. Ça ne fait que prouver que la douleur est insupportable quand on sait s'y prendre avec une victime. Je laissais la lame poursuivre son chemin le long de sa gorge, effleurant à peine sa peau, juste pour le sentir frémir d'horreur, attendant de voir le prochain coup que je lui porterait. Celle-ci descendit le long de son bras qui pouvait encore lui servir pour descendre lentement jusqu'à sa main. Rendu au bout, j'attrappais sa main d'un juste brusque et levais les yeux vers lui en souriant. Je sens qu'on va bien s'amuser maintenant.

Je laissais la lame parcourir doucement l'intérieur de sa main avant de remonter au bout de ses doigts. Je pris un de ceux-ci en main et posais la lame près de son ongle. Après quelques secondes à le faire patienter, je passais rapidement la lame sous son ongle arrachant celui-ci du même coup. Il poussa un cri de douleur, en fermant les yeux. C'est bien dommage pour lui, car j'ai pas encore fini moi. Je pris le second doigt qui s'offrait à moi pour lui faire subir le même traitement, arrachant son ongle dans un geste brusque. Je savais que dans peu de temps, il me supplirait d'arrêter ça et de le laisser le tuer sur le champ. Mais je voulais m,amuser encore un peu avec lui. C,était trop amusant poru le moment.

Chaque cris d'horreur qui resonne dans sa tête. Chaque seconde d'agonie qui le rend plus fou. Le sang comment à couler sérieusement. Il reconnait le parfum doux à touche de fer qui se répend dans la piece. Il inspire doucement et sourit. Il se concentre, chaque goûte qui coule de son corps pour s'écraser sur le sol. Chaque cris pour un morceau de lui qui s'arrache, se coupe, un morceau qui ne fait plus partit de lui. Il peut presque sentir les muscle de la victimes se contracté à chaque nouvelle attaque, il sent la peur de son esprit. Il sent l'horreur. Et ca ne le rend que plus fou. il aime sentir ce genre de chose, il aime aimer ce genre de chose. Il ne veut toujours pas ouvrir les yeux, il veut attendra la fin pour voir l'oeuvre finit. Il prend donc sur lui pour ne pas regarder. ca lui brûle, il veut même le rejoindre pour s'amuser à son tour. Mais non, lui ne doit plus rien toucher, lui doit être un homme bon. Il detste être un homme bon, il n'a pas été élévé dans le but d'être un homme bon. Mais il y a toujours ses anges, des anges qu'il brise. des anges qu'il détruit à cause de ses horreurs. On ne peut pas avoir le beurre et l'argent du beurre. Il faut faire un choix. Un choix difficile. Lui a fait le choix de rendre sa folie pour aimer ses anges. Aimer les gens qui comptent pour lui et pour qui il compte. Il soupire et patiente. Encore et encore... En attendant d'ouvrir les yeux et de prendre plaisir sur les reste d'un être humain.
Horreur.

[pas aussi long que toi désolé :s]

Je levais les yeux vers le jeune homme qui commençait réellement à souffrir. JE dois dire que ça devait sûrement être douloureux tout ce que je lui fesait subir. Mais c'est quand même le but de la chose. Donc plus il va souffrir mieux ça va être pour moi. Bon, qu'est-ce que je lui fais subir à présent ? Il y a plein de trucs à lui faire, mais avec un couteau, on peut pas aller plus loin dans la souffrance. Faut que je trouve autre chose. Je posais ma main sur la joue du jeune homme et lui fis un joli petit sourire en coin. Il fait vraiment pitié à voir. On peut bien le voir dans son regard qu'il ne souhaite qu'un seule chose. Peut-être que je devrais être un peu moins sadique avec celui-là. Je crois pas que ca dérange vraiment Joyama que je l'achève maintenant. Mais d'abord, une dernière chose.

J'attrapais une mèche de cheveux du jeune homme et souris doucement en voyant son visgae tourner subitement à la frayeur. Il a quand même pas peur que je lui découpe la calotte. Les jeuens de nous jours, ils sont vraiment effrayer par un rien. Je tranchais la mèche de cheveux à l'aide du couteau et lâchais ses cheveux. Maintenant, il me faut quelque chose pour l'attacher. C'est pas difficile à trouver ça. Son bras est déjà prêt pour ça. J'attrapais son bras que j'avais ouvert quelques minutes plus tôt et sectionnait doucement un des nerfs qui parcouraient son poignet. Ce qui est dommage, c'est qu'il ne ressent plus rien puisqu'il n'y a plus aucune mobilité dans son bras. Tant pis, je me reprendrais bien. J'attachais la mèche de cheveux à l'aide du bout de nerf et enfouis celle-ci dans ma poche. Ça me fera un petit souvenir. Je levais les yeux vers le jeune homme et lui fis un sourire avant de tapoter sa joue doucement. Ça ne devrait plus être long à présent. La mort l'appel déjà j'en suis certain.

Bon, maintenant c'est partie pour la finale. J'ai déjà ma petite idée de comment je vais le terminer. En plus, je me trouve gentil de lui donner la chance de choisir lui même l'heure de sa mort. Bon, c'est méchant quand même, mais c'est dans ma nature de l'être donc pourquoi s'en faire avec ça. C'est tout à fait naturel chez moi ce genre de truc. J'attrapais sa main encore mobile, où seul les ongles avaient disparut et levais les yeux vers le jeune homme. Un souruire amusé apparut sur mes lèvres et dans un mouvement brusque, je plantais deux de ses doigts dans l'arthère de son cou. Il laissa un cri de surpris sortir de ses lèvres, laissant ainsi une longue filée de sang sortir de son cou. je me reculais doucement de lui sans cesser de sourire.

- Maintenant, c'est à toi de décider si tu veux mourir maintenant ou bien rester ainsi encore un moment. Mais tu sais, si j'étais toi, je retirerais mes doigts maintenant. Ainsi tu n'aurais plus à souffrir. Le seul inconvénient, la mort te rejoindra rapidement après ce geste. Mais bon, c'est ton choix.

Le jeune homme me jeta un regard de désespoir avant de finalement retirer ses doigts. Ses yeux s'aggrandirent alors sous l'effet de la mort qui s'emparait de son corps. Le sang s,écoulait très rapidement de son cou, si bien que quelque secondes plus tard, il s'effondra sur le sol, les yeux complètement vide de vie. Je me retournais alors vers Joyama avec un sourire sur les lèvres.

- Voilà, la partie est terminé pour lui.

Joyama se releva finalement de sa chaise et s'approcha pour venir observer de plus près. J'espère au moins qu'il aime le spectacle et que j'aurais pas fait tout ça pour rien. Quoi que j'aime bien l'oeuvre que j'ai créer avec celui-là. C'est pas aussi facile avec une proie en mouvement. Mais celui-là, il était parfait pour satisfaire mes envies de souffrances, surtout qu'il était à porter de main. Ainsi, c'est beaucoup plus facile de faire souffrir la personne. Et je crois qu'il a eu sa dose celui-là. Du début à la fin.

Joyama sortit un bloc-note, un stylo et un appareil avant de me les tendre. Des souvenirs imagé ? C'est quand même une bonne idée ça. J'ai peut-être la mèche de cheveux, mais ça n'équivaut pas vraiment à une belle photo. Et en plus, avoir des souvenirs imagé, tu peux te rappeler de chaque détails, même le plus minime qui soit. Et c'est ce qui est très intéressant. Je posais mon regard sur le cadavre de l'homme en souriant doucement. Je sens que ça va être une autre partie de plaisir ça.

- Je vais vous faire ça avec plaisir.

Je fis un sourire à Joyama et posais mon regard sur le corps. Bon, commençons à nous amuser un peu. Je pris quelques photos de chaque angle pour être certain que les photos seraient parfaites. Ainsi, ça sera beaucoup mieux. Une fois cela terminé, je pris des notes de tout ce qui concernait l'état du cadavre. Et voilà, je crois que ça devrait faire l'affaire cette fois. je me tournais vers Joyama en souriant doucement.

- Et voilà, ça devrait faire l'affaire.